19 H 30
RESTAURANT LE MIOLLIS
LA 5ème SYMPHONIE DE BEETHOVEN
Du sublime à l’abject et de l’apothéose à la bacchanale
(Hoffmann, Balzac, Proust, Cortázar)
Avec Olivier Braux
Le 26 mars 1827 vers 17h45, Beethoven rend l’âme tandis qu’éclate un violent orage : la divinisation du compositeur salué par les éléments déchaînes peut commencer. De toutes ses compositions prométhéennes, la 5ème Symphonie et ses cinq premières mesures (« Ainsi frappe le Destin à la porte ! ») auront parachevé l’image d’un démiurge tout puissant dont les accents prophétiques s’adressent à l’humanité entière. Les romantiques en ont fait l’intercesseur entre l’ici et l’au-delà, mais le XXème siècle – ère du soupçon – verra dans cette force tellurique un facteur de destruction. (O.B.)
E.T.A. HOFFMANN : Kreisleriana, « La musique instrumentale de Beethoven », in Fantaisies à la manière de Callot, Édition Phébus, collection « Libretto » N°155
H. de BALZAC : César Birotteau, cliquez sur le titre
M. PROUST : Un dimanche au Conservatoire, cliquez sur le titre
JULIO CORTÁZAR : Les Ménades, in Gîtes, Gallimard, collection « L’Imaginaire » n° 631
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Anne Dussol 22, Allées du Montaiguet 10, chemin des Granges 13090 Aix en Provence
Inscription souhaitée et conseillée dès à présent, impérative avant le 29 septembre et aucun remboursement ne pourra être effectué en cas de désistement au-delà du 1er octobre.