Ce qu’en dit l’Opéra de Marseille :
«Le Tyrol [joue] un peu pour les Allemands le rôle du Midi chez nous.
Certes il n’a ni soleil ni vin : mais de belles montagnes, avec des lacs, une population gaie et charmante, qui conserve de vieux usages et de vieux costumes, un goût inné pour la comédie, la danse et la musique», explique en 1931 le correspondant berlinois de Comoedia censé rendre compte du succès d’Im wei βen Röβl, la pièce dont nous parlons.
«Spectacle jouissif et épicurien», notait pour sa part Le Temps à propos de cette production venue de Lausanne.
Reste que Napoléon Bistagne, lui, n’est rien d’autre que marseillais!