Ce qu’en dit l’Opéra de Marseille :
En 1815, le jeune Rossini doit montrer à Naples de quoi sa plume est capable.
Sur un livret donné par le Teatro San Carlo, parmi les scènes les plus richement dotées d’Europe, pour Isabella Colbran, prima donna assoluta qu’il épousera plus tard, et pour deux illustres ténors auxquels il offre un véritable duel vocal, il recycle les meilleurs morceaux de certaines de ses œuvres antérieures pour ficeler une partition idéale.
«L’effet fut prodigieux », nous fait savoir Stendhal.
God save the Queen